Série Insolite. Épisode 18 « Sarah » : Perdue Et Partagée Lors DUne Partie De Poker. Partie 9/13
Je mappelle Sarah, lors de la cinquième partie de mon histoire, dans la série insolite N°17, je vous ai expliqué comment mon chéri mavait fait découvrir le fabuleux sexe de mon nouvel amant dorigine tchadienne. Je vais donc poursuivre mon récit. Après cette fameuse nuit de folie passée avec Gédéon le chauffeur, William avait décidé quil serait désormais mon amant régulier, pour mon plus grand plaisir. Ce fut le cas pendant lannée précédent notre mariage, prévu en juin 2016.
En étant le PDG de la société, mon homme tenait absolument que je ne travaille plus, je fus donc remplacée dix mois avant notre union, par une jeune fille de 22 ans qui comme moi, trois ans auparavant, fut choisie pour ses compétences mais également parce quelle était prête à tout pour obtenir ce poste, même à coucher. Depuis un mois, William avait acheté une belle propriété dans les Yvelines où dès le vendredi soir, nous nous y retrouvions pour passer nos week-end. Tous les soirs de la semaine nous vivions dans lappartement de fonction, au dernier étage de limmeuble de la société.
Le sexe était devenu primordial dans notre couple, ce fut bien moi qui avais proposé à William dêtre sa petite salope soumise. Avant lui, je détestais les éjaculations faciales, les insultes, les pénétrations trop viriles et la sodomie. Pourtant depuis que nous vivions ensemble, désirant le satisfaire pleinement, je métais libérée pour devenir une femme libertine accroc au sexe, offrant mon corps par amour, à des partenaires devant les yeux de mon futur mari. Lorsque celui-ci me proposa Gédéon comme amant régulier, je ne savais pas ce qui mattendait, ce jeune africain mapportait tant de plaisir que cétait un vrai régal pour moi mais également pour William.
Si les délires et les jeux avec mon chéri ne se déroulaient que tous les quinze jours, dès la première semaine, ce fut une nuit sur trois que le jeune tchadien venait dans notre lit et me baisait magistralement, devant mon homme qui nous regardais sans avoir la permission de me toucher avant que nous nous endormions.
Ne travaillant plus, William mavait confiée la décoration de notre nouvelle maison. Le vendredi, Gédéon me conduit au magasin de bricolage, le trajet était long, il mavait imposé de le sucer dans la voiture. Ce jour-là, jétais un peu malade et je ne fus pas très performante mais jétais parvenue à le faire éjaculer dans ma bouche. Lorsque nous étions devant le rayon des lustres, il sétait permis de me doigter sous ma robe devant les clients et le vendeur qui avaient dû sapercevoir que je ne portais pas de petite culotte. Jétais fâchée dêtre traitée comme une vulgaire pute, cependant ne désirant pas faire desclandre dans le magasin et même si cela mavait quelque peu émoustillée, je le lui avais reproché une fois montée dans la voiture.
Je pensais que tout était oublié car sur le chemin du retour il mavait excitée en me fouillant les orifices, javais hâte de faire lamour avec lui. Cependant, une fois arrivés à la maison de campagne, il me retira un à un mes vêtements et une fois entièrement nue, jétais trempée dexcitation. Il sassis sur le fauteuil et mattira à lui : « Tu nas pas été gentille cet après-midi, tu mérites une petite punition. » Il me tira par ma queue de cheval, mobligeant à me coucher sur ses genoux. Jaimais les nouveaux jeux et jobéis volontiers, cela me faisait penser à mon père lorsquil mettait une fessée à mon grand-frère par le passé.
Il me mit deux claques sur chacune de mes fesses en me reprochant ma mauvaise fellation. Il ne mavait pas tapé très fort, néanmoins javais ressenti une certaine douleur : « Joublie cela car tu es parvenue à un bon résultat.
Je lui demandai pardon puis il passa délicatement ses mains sur ma peau endolorie. Javoue quune petite coulée dexcitation suinta de mon vagin, ce jeu me plaisait. Gédéon avait compris, il me donna quatre claques, à la suite pour mes reproches dans la voiture. Cette fois-ci javais mal, mes fesses étaient toutes bouillantes, je mexcusai avant quil me le demande, je voulais quil caresse ma peau qui me brûlait un peu trop : « Cest bien ! tu commences à comprendre. » Rétorqua-t-il, en me caressant et en me léchant la peau de mes fesses. Il me fit mettre à quatre pattes, me lécha lanus et membrassa le derrière, de la cyprine sécoulait sur mes cuisses. Il nattendit pas plus longtemps pour me sodomiser puissamment, javais encore joui énormément.
Autant Gédéon écoutait au doigt et à lil son patron, autant quil avait pris lascendant sur William pendant nos moments dintimité. Lorsque je lui avais raconté en détail laprès-midi passé dans les bras de mon amant, même si mon futur mari était totalement contre toute forme de violence, le récit de la fessée le fit bander encore plus. Les choses sétaient enchainées très vite car la semaine suivante, mon jeune amant mimposa de me livrer à dautres hommes sans même demander laccord préalable à son patron. Quand jen avais parlé à William, celui-ci nétant pas contre, javais accepté sans crainte. Javais déjà connu avec Helmut et mon chéri une expérience de la sorte, jétais prête à tout, pour les satisfaire.
Pendant quatre mois, Gédéon me trouva de nombreux partenaires, je navais pas mon mot à dire sur leur physique, la seule chose que William et moi imposions, était quils soient tous cleans (VIH).
Limprévu et ces jeux mexcitaient beaucoup, la rencontre avec les types que je ne connaissais pas et qui allaient me toucher, me caresser et me pénétrer faisait monter ladrénaline. La présence de mon amant ou de mon futur mari me rassurait et je me livrais totalement. Jaimais sentir plusieurs sexes envahir mon intimité et investir tout à la fois mon ventre, mes reins et ma bouche. Je prenais plaisir à être dominée, punie, quelques fois humiliée et possédée en me pliant aux ordres de mes partenaires qui me baisaient sans retenu et sans sentiments.
Tout avait commencé le lundi suivant, vers treize heures Gédéon était venu me chercher à la maison pour memmener dans lappartement. Il était très en retard mais nous nous étions tout de même arrêtés déjeuner dans une brasserie sur le bord de la nationale. Avant de quitter les lieux, après avoir payé laddition au comptoir, Gédéon me fit massoir à côté de deux hommes buvant leur café, probablement le père et le fils, tellement ils se ressemblaient. Mis à part le patron et ses deux types, il ny avait plus que la serveuse qui débarrassait.
Gédéon me donna lordre de me dévoiler en plein milieu du bistrot, il montra mes cuisses et mes fesses offertes puis leur dit : « Ça vous dirait de prendre un peu de bon temps ? » Sous le regard si souriant de Gédéon, les deux types me caressèrent sans retenu, le tenancier était partant lui aussi, il était passé de lautre côté du comptoir, cependant ne désirant pas être à la vue de tous, il nous invita dans la cave de la brasserie. Malgré lindécence de cette proposition, ces cinq minutes furent magiques, jamais je navais vécu une situation pareille et malgré cette humiliation, mon excitation fut démentielle.
Cette cave humide où les cagettes de fruits et légumes et les caisses de vin sentassaient, était lugubre et froide. Cependant je neus pas le temps de geler, ces trois types étaient déjà très excités à lidée de me baiser, ils bandaient fortement. Gédéon ne les connaissant pas du tout, distribua des préservatifs même pour la fellation que je fis immédiatement au patron de la brasserie. Pendant que jétais penchée sur le sexe du tenancier, le père me léchait par derrière et le fils me malaxait la poitrine.
Ne pouvant plus se retenir, très vite ils échangèrent leur position. Le patron du bar me prenait sauvagement par derrière pendant que je suçais le plus vieux. Après les avoir tous sucé, ils me prirent à tour de rôle plusieurs fois, jétais devenue une simple poupée gonflable pour ces trois types et pour terminer notre petit jeu, ce fut Gédéon qui me sodomisa pendant que les autres se vidaient les bourses. Je jouis fortement lorsque je ressentis au fond de mon rectum léjaculation de mon jeune amant tchadien pendant que je recevais sur mon visage une quantité énorme de sperme que menvoyait les trois inconnus qui séclipsèrent sans même me dire merci.
William était aux anges lorsquil entendit cette histoire, lui aussi adorait les rencontres imprévues et remercia Gédéon et linvita à poursuivre ses innovations. Dès lors, je prenais un malin plaisir à être punie, fessée, souillée, sodomisée, insultée, humiliée, jétais devenue une vraie chienne soumise, baisée par tous les trous, dans des endroits très insolites, dans des soirées où je me livrais totalement avec joie. Avec Gédéon mes tenues vestimentaires furent renouvelées dans un look très pute, je devais porter de petites jupes noires en latex, très courtes, des petits chemisiers blanc cintrée en dentelles, déboutonné sur le haut afin dafficher un grand décolleté, des bas noirs avec porte jarretelles et des escarpins à talons aiguilles. Un joli maquillage de mes yeux et mes paupières était bien plus prononcé et mes lèvres étaient recouvertes dun rouge écarlate brillant.
Un mois plus tard environ, Gédéon, avait invité William à une soirée chez des amis et il avait tenu que je les accompagne habillée en tenue très coquine. En arrivant dans cet appartement en plein Paris, je maperçus quil ny avait que des hommes présents. Mis à part le septuagénaire qui nous recevait chez lui, les trois autres types, étaient de très beaux spécimens entre trente et quarante ans. Je me léchais déjà les babines, me doutant bien ce qui mattendait, le gang band était un de mes fantasmes. Gédéon après avoir fait les présentations nous quitta en disant quil nous attendait dans la voiture. Nous avions pris une petite collation, en faisant connaissance, jattendais avec impatience le moment où ces quatre messieurs passeraient à laction.
Néanmoins au lieu de cela, William proposa à René, le propriétaire des lieux, de débuter la partie de poker. À lunisson les trois autres types, Patrice, Julio et Remy, sinstallèrent autour de la table pendant que je me minstallai sur le canapé en regardant le téléviseur où un film X était diffusé à lécran. Je vous passe des commentaires et les insultes que jentendais de la part des joueurs. Pensant que cela faisait partie du jeu, je navais rien dit et leur partie débuta. Je neus pas à attendre bien longtemps, dix minutes à peine après la première main, jentendis William dire : « Jai perdu hélas, comme promis, Sarah est à vous, je viendrai la chercher demain matin. »
Lorsque je vis mon futur mari quitter à son tour lappartement, je fus très surprise quil nassiste pas à notre jeu. Le fait dêtre aux prises à quatre hommes ne me faisait pas peur, bien au contraire, cependant jappréhendais, je navais plus personne pour me protéger : « Bon ! On suspend la partie. » dit René en attrapant son caméscope : « Ouais occupons-nous de sa pute. » Rétorqua Patrice avec lapprobation des deux autres. Le septuagénaire filma toutes les scènes et devait fournir la vidéo à William qui prendrait un grand plaisir à visionner cette partie de sexe par la suite.
« Seule avec trois beaux mâles qui allaient soccuper de moi. » Voilà ce que je pensais à présent car ces types ne me semblaient pas menaçants, ça mexcitait déjà. René nous avait invité à le suivre dans la chambre, jétais debout près du lit et les trois apollons avaient commencé leur branlette en me matant dans ma tenue plus que sexy. Alléchée par ces beaux garçons bien foutus avec leur joli pénis dans leur main, je métais déjà installée à quatre pattes sur le lit pour commencer à sucer avec gourmandise Julio, le mieux monté. Je lui pompais le gland avec délectation. Jappréciais déjà cette belle queue bandante senfonçant dans ma bouche.
Pendant ce temps, Patrice sur le côté, continuait à se branler tout en caressant ma poitrine et Remy derrière moi malaxait mes fesses explorant toutes mes courbes dune de ses mains et de lautre il vénérait mon intimité du clitoris à lanus. Quelle chance davoir trois étalons rien que pour moi?! Ma chatte se trempait de cyprine sous les mains agiles des deux types qui me pelotaient sachant quils bandaient pour moi. Je mouillais fortement, mon excitation était décuplée en entendant les commentaires crus de René le caméraman. Le gang bang était bien parti, comme je lavais espéré, Patrice approcha sa verge de ma bouche pour se faire sucer à son tour.
Javais deux jolis phallus tendus à souhait sous mon nez. Je pris la sienne dans ma bouche, pendant que Julio prenait ma main afin que je continue à le masturber. René filmait toujours la scène en faisant des gros plans. Jaimais cette situation en alternant chacune des queues dans ma bouche et en recevant les doigts et la langue de Remy qui allait bientôt me faire jouir. Je me laissais aller au plaisir du sexe, les deux mains accrochées aux pénis de mes deux partenaires, je pris mon orgasme en arrosant copieusement la bouche du troisième, de toute ma jouissance.
Rémy se releva derrière-moi pour étendre mon jus sur mes fesses et ma fente. René avait filmé mon éjaculation : « Baise-là cette coquine. » Lui dit-il. Pendant que les deux autres faisaient courir leurs mains sur ma nuque, Patrice attrapait ma chevelure pour guider mes mouvements de tête, je continuais toujours de les sucer, les lécher alternativement. Ils me tenaient parfois si fermement, quils me baisaient la bouche littéralement et leur vigueur et leur excitation débordante intensifiaient la mienne, javais hâte quils me prennent dautres orifices.
Sous les conseils du caméraman, Remy me prenait le vagin en levrette, coulissant sa queue facilement dans ma mouille, ses va-et-vient répondaient à mes attentes, au même rythme que mes propres mouvements de tête, ma bouche sétait déformée avec les deux queues que javais en même temps entre les lèvres. Six mains se baladaient à présent sur mon corps, mes hanches, mon cul, mes seins, mon cou et mes cheveux. Je ne pouvais que moffrir à eux, jétais leur chose pour notre plaisir à chacun. Jétais en plein extase, même avec deux bites obstruant ma bouche active, la cyprine entre mes cuisses et mes gémissements, trahissaient mon excitation.
Les bourses de Rémy claquaient mon cul pendant quil me baisait, je mactivais tout en essayant de satisfaire tout ce beau monde. Cependant, je ne pus suivre le reste dans les détails, car ils échangèrent tous de position. Rémy sallongea sur le matelas et me demanda de le sucer, Patrice avait dû me prendre par derrière, je ne voyais plus rien, René riait tout en filmant cette partouze. Je me retrouvais en double vaginale avec les deux queues qui me prenaient la bouche quelques minutes plus tôt.
Ils tournèrent encore et je fus prise par les trois orifices en même temps. Je connu ce soir-là ma première double anale. Javais joui plusieurs fois sans savoir lequel des trois, mavait le mieux honoré, ils étaient tous à égalité. Alors que mes trois champions se masturbaient sur mes fesses et sur mon dos, René le septuagénaire baissa son pantalon pour laisser apparaitre son pénis raide comme une barre de fer et me demanda de le sucer pendant quil me filmait. Je reçus avec une grande satisfaction un feu dartifice de sperme et avalai toute la jouissance du vieil homme qui râlait fortement en éjaculant. Il essuya toute ma souillure et me remercia, stupéfait de mes performances.
Je pris une nouvelle collation pendant quils reprirent leur partie de cartes. Après une demi-heure de repos, je pus constater que mes trois beaux étalons avaient retrouvé la forme, nous avions remis le couvert avant une dernière main pour connaitre avec lequel jallais passer la nuit. Patrice gagna le gros lot et je nen fus pas déçue, malgré la fessée quil mavait administrée sans raison et la brutalité de nos rapports, je dois dire quil fut encore à la hauteur de mes espérances. Javais aimé faire lamour avec lui, seul dans le lit sans être filmée cette fois-ci.
Gédéon était venu me chercher que le lendemain à dix heures, cétait la première fois depuis que je connaissais William que je découchais. Notre mariage arrivait à grand pas et je nen avais pas fini de nos petits jeux. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Sarah, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!